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Plan de transition pour le monde d'après
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Plus que jamais, les citoyen·ne·s du monde entier comprennent que la solidarité et la coopération sont indispensables pour surmonter la crise de la COVID-19. Ensemble, nous pouvons construire un autre avenir pour l’Europe et pour le monde. Un avenir plus résilient tant sur le plan social que sur les plans économique et environnemental. La question qui se pose à chacun.e d'entre nous est : dans quel monde voulons-nous vivre demain ? À lire ici.
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David Cormand : présentation du plan de transition
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Après la crise de la COVID-19, nous devons construire un autre avenir pour l’Europe et pour le monde, un avenir plus résilient, fondé sur la justice sociale, un développement économique durable et la protection de l’environnement. David Cormand présente le plan de transition sur lequel les écologistes europée·ne·s ont travaillé ensemble.
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Découvrez le plan de transition des écologistes européen·ne·s en vidéos !
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François Alfonsi : l'impact de la crise sur les îles
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En Europe, ce sont les îles qui seront le plus impactées par la crise. Il leur faudra pour l’avenir une économie plus diversifiée et plus autocentrée, être plus résilientes pour résister à une nouvelle crise.
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Benoît Biteau : pour une autre PAC
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Le Parlement européen s’apprête à prolonger de deux ans la PAC actuelle, en attendant la réforme suivante. C’est une mauvaise nouvelle car la PAC actuelle est mauvaise. Mais profitons au moins de ces 2 ans pour réfléchir à la prochaine afin qu’elle soit résiliente et durable.
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Damien Carême : pour un plan massif, solidaire, vert et surtout vertueux
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Les écologistes européen·ne·s ont construit ensemble un plan de transition qui ne reproduit pas les erreurs du passé. Un plan d’investissement solidaire et vertueux pour revitaliser l’échelle locale, créer de l’emploi juste et nourrir une économie respectueuse de l’humain et de l’environnement. Un plan de 5 000 milliards d’euros sur douze ans pour construire un autre monde.
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G. Delbos-Corfield : pour une Europe respectueuse des droits humains
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La crise sanitaire a mis nos démocraties européennes sous pression. Partout, nos libertés, nos droits civils ont été réduits. Les médias ont eu du mal à exercer leur rôle de vigilance d’information. Et, comme toujours dans les moments de crise, les plus fragiles et les minorités ont été touché·e·s plus durement que les autres. Il ne faut pas que l’exception devienne la loi normale.
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Karima Delli : pour une transformation du secteur des transports
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Les transports représentent 30% des gaz à effet de serre. Cette crise nous rappelle qu’il faut une rupture, il n’y aura pas de plan de transition sans changement dans notre façon de nous déplacer. Reconversion du secteur automobile, taxation de l’aviation, développement des mobilités douces, soutenables comme le vélo, le train, le bateau sont nécessaires.
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Claude Gruffat : pour une politique alimentaire territoriale commune
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Pendant la crise sanitaire, les consommatrices et les consommateurs ont cherché à se nourrir localement parce que c’est meilleur et que cela a plus de sens. Cette crise nous montre les limites de notre système alimentaire et agricole. Nous devons réorienter la politique agricole commune vers une politique alimentaire territoriale commune.
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Yannick Jadot : pour une Union européenne plus résiliente
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La crise sanitaire est aussi une crise écologique et a un impact majeur sur l’économie, le social et la démocratie. Nous devons rendre l’Union européenne plus résiliente, moins vulnérable, plus souveraine. Pour cela, nous devons transformer les règles de nos marchés publics pour pouvoir acheter européen dans des secteurs stratégiques et pour permettre aux collectivités locales de privilégier les PME du territoire dans leurs appels d’offre.
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Michèle Rivasi : pour une réponse sanitaire européenne
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La pandémie de COVID-19 a montré l’urgence de retrouver une souveraineté européenne pour la protection de base de la santé des citoyen·ne·s européennes. Nous ne pouvons plus manquer de protections et de médicaments.
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Caroline Roose : pour une pêche durable
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Le secteur de la pêche a été très fortement impacté par la crise liée au coronavirus, nous montrant ainsi les limites de la politique actuelle de la pêche qui privilégie la pêche industrielle, destructrice d’emplois et de la biodiversité. Nous devons saisir cette occasion pour que ça change.
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Mounir Satouri : pour une Europe sociale
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Pour que la crise sociale induite par la pandémie ne persiste pas, l’Union européenne doit permettre aux États membres d’investir massivement dans les services publics et mettre en place un « Care deal for Europe », un pacte de soins, un cadre européen sur le logement et un régime universel de soutien décent pour lutter contre la pauvreté.
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Marie Toussaint : protéger la biodiversité
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Nous avons détruit un tiers de l'espace forestier mondial depuis la révolution industrielle. Si nous voulons préserver notre santé et éviter de nouvelles pandémies, nous devons cesser de détruire la biosphère et lutter contre le réchauffement climatique.
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Salima Yenbou : soutenir les acteurs culturels
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L’Union européenne doit soutenir le secteur culturel, surtout les petites entreprises et les indépendant·e·s qui ont énormément souffert de la crise induite par la pandémie de COVID-19. Cela doit être un objectif majeur du plan de relance de l’Union européenne. Le secteur culturel, c’est 8,7 millions d’emplois et 4,2% du PIB. Il doit être aidé à la hauteur de ce qu’il représente dans l’économie.
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Pour en savoir plus sur le plan, vous pouvez :
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