La gauche française dénonce l’austérité en Grèce et craint un embrasement

13 février 2012
Alors que, sur France inter, Ségolène Royal a jugé « intolérable » le sort des Grecs après le vote du nouveau plan de rigueur proposé par le gouvernement, à gauche comme au centre, la plupart des commentaires s’inquiétaient d’un possible embrasement du pays.
La présidente de la région Poitou-Charente a ouvert le feu contre les institutions européennes en lançant : « Il y a de la lâcheté des institutions européennes dans ce qui est en train de se passer en Grèce. » « Ça flambe à Athènes, où est M. Barroso, l’ultralibéral que les dirigeants ont remis à la tête de la commission européenne, que fait le Parlement européen, où sont les ministres du conseil des ministres européens ? », s’est interrogée Mme Royal.

« SITUATION D’APPAUVRISSEMENT »

De façon plus modérée, l’entourage de François Hollande a critiqué la politique européenne et ses conséquences en Grèce. Selon Vincent Peillon, responsable éducation du candidat, « on (en Europe) est toujours en retard et on fait toujours trop peu ». Le député européen estime qu’il faut « annuler la dette de la Grèce. Sinon, cela nous coûtera encore beaucoup plus cher ».

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