Rapport de progrès Turquie : « Un nouvel élan dans les relations UE-Turquie »
Rapport de progrès Turquie
« Un nouvel élan dans les relations UE-Turquie »
Le Parlement européen a adopté ce jeudi 18 avril sa résolution sur le rapport de progrès 2012.
A l’issue des votes, Hélène Flautre, députée européenne (Groupe Verts-Ale), Co-Présidente de la Commission parlementaire mixte UE-Turquie a déclaré:
« Dans cette résolution, le Parlement reconnait le moment historique que traverse actuellement la Turquie tant au niveau interne que régional. Les députés européens soutiennent ainsi, à une très large majorité, le nouvel élan apporté aux relations UE-Turquie entamé par la levée française d’un véto et appellent à l’ouverture de quatre nouveaux chapitres (Energie, Justice et Droits Fondamentaux, Justice et Liberté, Questions sociales). Par ce texte, le Parlement encourage et félicite également les négociations en cours avec le PKK, les réformes judiciaires ainsi que le processus constitutionnel tout en insistant sur la nécessité de développer une culture politique du compromis en Turquie, indispensable à l’établissement de la paix et de l’égalité des droits dans le pays.
Enfin ce rapport a abouti à une victoire partielle inédite en faveur des Chypriotes turcs dont la présence future au sein de l’hémicycle européen sera enfin discutée lors d’une prochaine Conférence des Présidents. Le Parlement européen pourrait ainsi gagner une meilleure représentativité et légitimité auprès de ses citoyens ».
Un commentaire
Merci d’oeuvrer pour un rapprochement entre l’Europe et la Turquie.Je souhaite que les turcs puissent vivre dans un pays dans lequel chacun puisse trouver sa place dans un contexte apaisé.
Je suis admirative lorsque je constate que la Turquie accueille 400 000 réfugiés syriens.
Au nom de l’amitié qui doit régner entre l’union européenne et la Turquie je vous demande d’intervenir pour empêcher que la France par l’intermédiaire d’AREVA installe 3 CENTRALES NUCLEAIRES en Turquie dans une zone sismique.
Au regard des éléments suivants la prudence s’impose:
L’impossible démantèlement de la centrale de Brennilis ( démantèlement qui devait montrer les compétences françaises)
Les tonnes de déchets qui ont une vie longue(le plutonium mettra 241 000 ans pour perdre sa radioactivité!)
Les maladies professionnelles dans les lieux d’extraction de l’uranium et les centrales nucléaires.
Les taux de cancer élevés parmi les populations vivant à proximité des centrales.
Les accidents connus et occultés par les autorités .
Les risques d’attentat.
Je pense que les savoirs faire concernant le solaire et l’éolien développés en Europe pourraient permettre d’aider la Turquie à utiliser le vent et le soleil comme source d’énergie. De jeunes turcs vivant en Europe et tout particulièrement en Allemagne pourraient recevoir une formation qui pourraient leurs permettre de contribuer au développement de sites produisant de l’énergie dans leur pays d’origine. Cela pourrait être une occasion de rapprochement entre la Turquie et l’union européenne.