Dans un monde aux limites et aux ressources finies, comment peut-on encore cautionner la croissance du PIB comme indicateur de référence de nos économies ? C’est une aberration, d’autant plus qu’il y a assez de richesses dans notre monde pour subvenir aux besoins de chacun. Mais encore faut-il que cette prospérité soit mieux partagée. C’est pourquoi nous luttons pour la justice fiscale : taxer les transactions financières, en finir avec l’évasion fiscale, aligner la fiscalité du travail sur celle du capital sont autant de moyens de faire émerger l’économie circulaire, les emplois non-délocalisables et la troisième révolution industrielle.