Le double discours des banques démasqué
7 février 2012
Les attaques des candidats à la présidentielle, déclarés ou putatifs, contre la finance en général, et les banques en particulier, pourraient-elles n’être qu’incantations opportunistes, promises aux oubliettes des fausses bonnes idées de campagne, une fois rendu le verdict des urnes ? A lire l’opuscule de Pascal Canfin, le risque est loin d’être négligeable. Question de rapport de force. Cet eurodéputé d’Europe Ecologie-les Verts a expérimenté in vivo la force de conviction du lobby de l’industrie financière, longtemps détenteur exclusif de l’information et de l’expertise en la matière.
Les attaques des candidats à la présidentielle, déclarés ou putatifs, contre la finance en général, et les banques en particulier, pourraient-elles n’être qu’incantations opportunistes, promises aux oubliettes des fausses bonnes idées de campagne, une fois rendu le verdict des urnes ? A lire l’opuscule de Pascal Canfin, le risque est loin d’être négligeable. Question de rapport de force. Cet eurodéputé d’Europe Ecologie-les Verts a expérimenté in vivo la force de conviction du lobby de l’industrie financière, longtemps détenteur exclusif de l’information et de l’expertise en la matière. Un quasi-monopole qui lui permet de tenir en toute impunité un double discours pour freiner les velléités de régulation des pouvoirs publics, tout en préservant son image auprès de l’opinion. Et les banques françaises ne font pas exception.
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